Voici le tissu de mensonges que le journal "le temps" écrit sur ma personne, que vient de repérer notre service de veille médiatique.
Je voudrais rassurer le journaliste qui a écrit cet article ainsi que le directeur de publication : Que lui et ces journalistes se tiennent bien. Cette fois la diffamation ne restera pas impunie ; il y aura une suite judiciaire à cette affaire, et il y aura d'autres suites, à titre exemplaire, pour qu'enfin l'écriture de torchons de ce genre prenne fin dans ce pays :
L'article se trouve en entier sur le site Abidjan.net sous l'url : http://news.abidjan.net/h/359599.html?n=359599
sous le titre : Crimes économiques, violences dans les écoles... : Dramane Ouattara et ses bonimenteurs...
La section ci-dessous qui nous concerne s'intitule : "Loubardisation" de l'école.
"Le chef du gouvernement de l'époque, qui comme à ses habitudes, oppose l'argument de la force à la force des arguments, va entretenir une cohorte de loubards. Avec pour seule mission, semer le trouble sur le campus et dans les résidences universitaires. Ouattara va greffer l'entretien salarial de sa milice privée sur le budget de la primature. Quel étudiant du début des années 1990 ne se souvient pas des dérives du tristement célèbre d'alors, Thierry Zébié. Cet étudiant loubard gracieusement entretenu par Alassane Ouattara. Et dont la mission était de semer la terreur sur le campus universitaire. Et avec lui, ses acolytes Serges Dahi, Dogba Julien, John Pololo… qui étaient coutumiers des agressions et viols dans les résidences universitaires. Ces gens qui n'avaient que pour seul diplôme leurs muscles impressionnants, étaient dans les cités universitaires comme des étudiants. Avec tous les attributs liés à " leur statut d'étudiant ". Bourses, chambres sur les cités universitaires, " Ndaya "… En mai 1991, le chef du gouvernement d'Houphouët fait descendre, nuitamment, des escadrons de militaires sur les deux cités universitaires de Yopougon. Les conséquences de cette " expédition punitive " du pouvoir sont énormes. Des handicapés à vie, des traumatismes permanents, de nombreux blessés, des étudiantes brutalisées et violées et plusieurs disparus. A la suite de ces événements, le Sg de la Fesci d’alors, Ahipeaud Martial et ses camarades vont être injustement mis aux arrêts. Le seul tort de ces étudiants, aux yeux d'Alassane Ouattara, est d'avoir réclamé plus de démocratie et de liberté. En réalité, monsieur " 100 jours " voulait coûte que coûte avoir la Fesci sous son contrôle à l'époque. Chose qu'il ne réussira pas, jusqu'à ce qu'il quitte la primature à la mort d'Houphouët-Boigny.
Comment Ado introduit la machette sur le campus
Ouattara qui depuis son bureau du Fmi, suit l'actualité politique ivoirienne, sait que s'il doit revenir sur la scène, il lui faut avoir dans sa poche les étudiants. Qui du temps de son passage à la primature, lui ont créé tous " les problèmes ". A peine, dépose-t-il ses bagages sur le terrain politique que sa première action se résume à " racheter" à prix d'or, la Fesci. Puissant mouvement estudiantin, dirigé à cette époque par Guillaume Soro. Très proche du Sg du Fpi, Laurent Gbagbo. Son mandat terminé, il doit passer la main. Dans le bois sacré, il n'est pas fait mystère autour de son successeur. Tous s'accordent sur la personne de Blé Goudé, son Sg à l'organisation. Ouattara qui voit d'un mauvais œil, ce successeur naturel, entre en scène. Il dégaine millions sur millions, pour avoir Blé Goudé dans son escarcelle. C'est peine perdue. Alors, il va susciter la candidature de Doumbia Major, du moins une dissidence au sein du mouvement estudiantin. Doumbia et ses hommes sont logés et payés à coup de millions de Fcfa pour la " mission ". À savoir, déstabiliser la Fesci devenue trop forte et " incontrôlable " aux yeux du mentor des républicains. Son jeune frère Ibrahim Ouattara alias " photocopie " (pour sa ressemblance frappante avec Ado) est chargé d'acheminer les machettes en quantité suffisante à Doumbia Major et ses éléments. Pour déstabiliser le mouvement estudiantin. Et depuis leur base, ils vont attaquer les résidences universitaires où se trouvent les hommes de Blé Goudé. Qui a osé dire non à Alassane Ouattara. Des étudiants tailladés à la machette, défenestrés, découpés et même tués. C'est le spectacle désolant qu'Ado a donné de voir sur le campus et dans les résidences universitaires. Les témoins de ces faits sont encore bien vivants. Ainsi en est-il de l'homme qui veut cacher son Cv, marqué par des actes de violences et de barbaries sur la jeunesse estudiantine.
Frank Toti"
Cher frank toti ,
Je crois que ton journal me dira cette fois combien j'ai réçu de ADO, quand et où,
le journal me dira quand ils ont vu un certain photocopie me distribuer des machettes.
j'espère qu'ils me diront quand-est-ce que j'ai été candidat contre quelqu'un à la fesci, et comment alassane ouattara a suscité ma candidature ?
Bref, pour une fois on parlera publiquement de cette affaire, où des individus tapis dans l'ombre veulent réecrire l'histoire pour se faire passer pour des héros.
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